Konopnicki sur Israël, les Palestiniens, a le mérite de repartir de zéro et de déblayer des idées reçues qui paralysent, sur le sujet, la réflexion.
Le philosophe a lu « La guerre des Bush » d’Eric Laurent (Plon), un livre de bonne politique dont il recommande la lecture. Critique.
Il vient de se produire, sur le théâtre d’ombres qu’est la scène politique iranienne, une série d’événements dont on n’a pas pris la mesure.
En ce début de campagne, la question du « choix », du « ralliement » des intellectuels, prend une tournure pour le moins inattendue.
Pour le philosophe « Da Vinci Code » est un film navrant, puérile, qui flirte avec le plus douteux des imaginaires politiques.
BHL évoque la langue à la fois simple, lumineuse, et, soudain, étrangement nouée, et donc énigmatique, de Levinas.
La plausibilité de la guerre atomique ne mérite-t-elle pas que l’on interroge une politique énergétique qui nous fait acheter l’énergie qui nous tuera ?
Le bataille pour le secret, parce qu’elle défend les individus, chacun ayant droit à sa part d’ombre, voilà l’un des enjeux majeurs de ce temps.
Il faudrait tout relire de Sartre, nous dit BHL : les textes canoniques, les œuvres philosophiques, et les textes réputés mineurs.
Pourquoi l’élargissement européen est une bénédiction pour les peuples de l’autre Europe, la nôtre, si étrangement lassée d’elle-même ?
Réseaux sociaux officiels