BHL évoque pour « Marianne » ses prises de positions sur l’Amérique, la gauche, les droits de l’homme, l’argent, Sarkozy, etc.
Entretien à Sarajevo à l’occasion d’une projection, en présence des survivants, de « Bosna ! » et « Un jour dans la mort de Sarajevo ».
Centre André-Malraux de Sarajevo. Propos tenus le 22 mai 2005, à l’occasion de la parution de la traduction bosniaque du « Lys et la Cendre », chronique de trois années au cœur de la guerre de Bosnie.
La règle du jeu : des noms, un jeté de noms, dont le point commun était d’avoir, d’une manière ou d’une autre, compté dans la vie intellectuelle ou personnelle de BHL.
Gilles Hertzog et Bernard-Henri Lévy sont retournés à Sarajevo, en Bosnie, vingt ans après la guerre. Récit.
Le bouillant philosophe était au Festival pour présenter « Le Serment de Tobrouk », récit filmé de la guerre en Libye.
Des bandes de Gaza en Bosnie ? Ce serait le prix de notre démission. Des centaines de Salman Rushdie en Algérie : c’est – déjà – la victoire des barbares. Il avait un drôle de visage, Jean Cau.
Avec le président bosniaque, en marge d’une « tournée de la dernière chance ». La Dame de fer en maîtresse d’école. Le pape à Sarajevo ? Désarroi de François Mitterrand.
Dans ce « journal d’un écrivain au temps de la guerre de Bosnie », Bernard-Henri Lévy se montre très lucide, aigu et sans complaisance.
Esprit de Sarajevo, toujours là. Unique et comparable, la Shoah. Véhémence d’André Glucksmann.
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