Le texte de BHL traduit de nombreux malaises. Comment faire passer un message sans avoir l’air de se faire de la pub ?
Les intellectuels se meurent ? Le mot « engagement », est-il encore dans le dictionnaire des idées ? Lévy et Finkielkraut en plein désarroi.
Il est des livres de raison, de passion, de colère, de polémique… « Éloge des intellectuels » est un livre d’esquive, formidable, brillant, léger. Clair, intelligent, puisqu’il vous donne l’impression de l’être.
Dans son « Éloge des intellectuels », Bernard-Henri Lévy énumère les les causes du déclin des intellectuels.
Pour son feuilleton, Bertrand Poirot-Delpech a lu « Éloge des intellectuels » de BHL, et « La Défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut.
Bernard-Henri Lévy fait leur éloge et, dans un essai sur Aron et Sartre, Étienne Barilier se demande s’ils sont en train de disparaître.
L’auteur de l’« Éloge des intellectuels » n’a pas participé samedi à l’émission de Michel Polac consacré à la culture. Il explique pourquoi et répond à ses détracteurs.
On finirait par l’oublier, note encore Lévy, un intellectuel, c’est quelqu’un qui pense, fréquente les bibliothèques plutôt que les manifs.
À quoi sert un intellectuel ? Réponse : à être le poil à gratter de la société, il doit compliquer les problèmes. C’est ce qu’explique Bernard-Henri Lévy, avec beaucoup de brio.
Aux États-Unis, Allan Bloom publie un éloge de la culture générale. À Paris, BHL un éloge des intellectuels. Les clercs crient à la trahison des autres.
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