Bernard-Henri Lévy, dans son « Éloge des intellectuels », en quelques pages brillantes, décrit et analyse la banalisation de la pensée.
Dans son dernier livre, Bernard-Henri Lévy se pose la question de savoir si les intellectuels sont coupables. Et si oui, de quoi ?
Dans un livre passionnant et foisonnant, « Récidives », BHL brosse le portrait de l’intellectuel du XXIe siècle.
Avec la disparition du philosophe, Bernard-Henri Lévy perd un « compagnon de route » avec lequel il mena tous ses combats importants.
Débat organisé avec Alain Finkielkraut, puis publié après les élections, à l’occasion de la publication de « Ce grand cadavre à la renverse ».
L’hebdomadaire « Marianne » publie cette semaine une grande enquête, sondage à l’appui, sur la notoriété et l’influence des intellectuels français.
C’est, à l’évidence, comme intellectuel que Bernard-Henri Lévy a choisi d’intervenir sur la question algérienne dans les colonnes du « Monde ».
À l’initiative de SOS Racisme, un certain nombre d’intellectuels ont rendu public un appel qui condamne les courants racistes en France.
Bernard-Henri Lévy n’est pas — pas encore ? – porteur d’une aventure qui le dépasse, d’une passion qui lui donne son poids de vérité. À ce jeune homme en qui certains voient un Malraux en herbe, il manque sans doute une guerre d’Espagne.
Conversation entre l’auteur d’une histoire subjective des intellectuels français du XXe siècle, et le biographe de De Gaulle et Malraux.
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