Résultats pour « Jerusalem »

Les voix de l’autre Autriche

Bernard-Henri Lévy, Le Monde, 02 mars 2000

Un néofasciste nommé Jörg Haider devient un élément incontournable du paysage politique autrichien. BHL est parti enquêter à Vienne.

« BHL m’a tout dit… » Interview par Edmonde Charles-Roux

Bernard-Henri Lévy (entretien), Femme, 01 octobre 1984

Rencontre exceptionnelle pour « Femme », mise en image par Robert Doisneau : Edmonde Charles-Roux, écrivain, prix Goncourt (« Oublier Palerme »), femme de ministre, retrouve son métier de journaliste – elle a longtemps dirigé « Vogue » avec brio – en confessant Bernard-Henri Lévy. Le premier roman du philosophe devenu romancier, « Le Diable en tête », est l’événement de la rentrée.

Un « nouveau philosophe » s’interroge sur le destin d’un fils de « collabo »

Jean-Claude Lamy, France-Soir, 02 octobre 1984

Avec « Le Diable en tête », Bernard-Henri Lévy aborde pour la première fois le roman, en prenant des risques.

Les rêves brisés de BHL

Angelo Rinaldi, L’Express, 21 septembre 1984

Le premier roman de BHL raconte la destinée tragique d’un rejeton de la grande bourgeoisie parisienne né sous l’Occupation.

« Le Diable en tête » : on en parle

Didier Williame, La Vie, 04 octobre 1984

« Le Diable en tête » est le premier roman de BHL, inventeur des « Nouveaux philosophes » et auteur à succès de cinq essais.

À la recherche de Benjamin C…

Lucien Guissard, La Croix, 29 septembre 1984

Le romancier Bernard-Henri Lévy ne mérite ni l’excès d’honneur des uns ni celui d’indignité des autres. Au total, un premier roman de type classique non dénué de qualités.

Bernard-Henri Lévy : un héros de notre temps

Jean-Marie Rouart, Le Quotidien de Paris, 25 septembre 1984

« Le Diable en tête » est un roman passionnant qui embrasse, à travers le portrait d’un terroriste, toute la légende, sombre, voluptueuse et cruelle, du siècle.

Bernard-Henri Lévy au coeur du romantisme politique

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Quotidien de Paris, 20 septembre 1984

Dans son premier roman « Le Diable en tête » (Grasset), BHL revit les illusions perdues de sa génération hantée par ce mal du siècle, le fascisme. Dans un entretien avec Paul Guilbert, il s’explique sur son passage de l’essai au roman et sur la présence du Mal en politique.

« Le Diable en tête » : fureurs et passions

M. Duforest, Nord Éclair, 05 octobre 1984

« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.

« Le Diable en tête »

Annie Coppermann, Les Échos, 16 octobre 1984

C’est un bout de siècle que BHL, en très honnête romancier, campe bien, et de façon très vivante, avec son « Diable en tête ».