Résultats pour « Jerusalem »

BHL court-circuite le siècle

Corinne Desarzens, La Tribune de Genève, 05 octobre 1984

Avec son premier roman BHL fait le portrait de la génération perdue du demi-siècle, de 1940 à nos jours, en énumérant ses rêves brisés.

« Benjamin »-Henri Lévy, témoin parmi les hommes

André Boretti, Le Soir, 21 octobre 1984

BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.

Le « nouveau philosophe » n’est pas un « nouveau romancier »

Jean-Michel Maulpoix, La Quinzaine littéraire, 01 octobre 1984

BHL a mis la dose, en bouillant jeune philosophe : son premier roman est-il un coup d’essai, un coup de maître ?

Le « way of life  » de Paris est irremplaçable

Philippe Bonnel, VSD, 09 novembre 1984

Avec son premier roman BHL joue la difficulté et conjugue les genres : journal, dialogue, lettres, témoignage, confession.

Bernard-Henri Lévy persiste et signe

Bruno de Cessole , Magazine Hebdo, 28 septembre 1984

Oui, le diable existe : BHL l’a raconté... C’est un vieux pays au drapeau tricolore, chargé d’histoire, et qui voue un culte coupable à ses héros... Cette haine de la France, Bernard-Henri Lévy la poursuit avec une belle persévérance dans « Le Diable en tête », son premier roman.

De l’hôtel

Bernard-Henri Lévy, Le Figaro, 21 septembre 1984

Les livres de BHL doivent à l’univers des hôtels mieux que des anecdotes ou des folies – le lieu même de leur écriture.

Humain trop barbare

Jean-François Josselin, Le Nouvel Observateur, 21 septembre 1984

Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.

La confession d’un enfant du demi-siècle

Pierre Démeron, Marie-Claire, 01 octobre 1984

Le « must » de la rentrée : le premier roman de BHL, « Le Diable en tête ». Un coup d’essai et un coup de maître.

Bernard-Henri Lévy : époustouflant !

Jérôme Garcin, La Provence, 23 septembre 1984

« Le Diable en tête » est le premier roman de Bernard-Henri Lévy, et c’est époustouflant de maîtrise, de technique, d’intuitions littéraires.

Diaboliques

Lucien Bodard, Le Magazine Littéraire, 01 octobre 1984

Un « nouveau philosophe » passe au roman. Une fascinante fresque qui brasse quarante années de tumultes et où le diable gagne sur tous les tableaux.