« Le Diable en tête », premier roman de BHL, n’est que la continuation par d’autres moyens de ses livres précédents.
C’est un bout de siècle que BHL, en très honnête romancier, campe bien, et de façon très vivante, avec son « Diable en tête ».
Archange des nouveaux philosophes et militant des droits de l’homme, BHL a succombé, lui aussi, à la tentation romanesque. François Nourissier découvre un jeune auteur...
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
Le Goncourt, demain, se joue dans un mouchoir. Poirot-Delpech ? Marguerite Duras ? ou Bernard-Henri Lévy ?
Le philosophe a présenté son film « L’Ukraine au cœur » au Congrès, à Washington, au moment où les élus américains doivent se prononcer sur une nouvelle aide pour l’Ukraine.
De la fin de l’Histoire à l’ère du terrorisme, BHL rassemble dans son dernier livre, « Récidives », dix ans de chroniques engagées.
BHL signe le roman de la dissonance, du croisement serré des vérités contradictoires, du malentendu, de l’équivoque.
L’essayiste, le jeune et brillant initiateur des « nouveaux philosophes », BHL le surdoué, n’a pas manqué son entrée dans le monde romanesque.
Que n’a-t-on dit et écrit de ce jeune éditeur, essayiste de talent et, depuis peu, romancier ? Avec son premier roman cet ex-normalien a beaucoup fait parler de lui.
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