La guerre en Irak : morally right, politically wrong. Poutine à l’Académie. Pauwels ressuscité. La mort de Daniel Toscan du Plantier.
Bernard-Henri Lévy dit clairement la nausée que lui inspirent les propos de M. Raymond Barre, des propos haineux et vulgaires.
Il vient de se produire, sur le théâtre d’ombres qu’est la scène politique iranienne, une série d’événements dont on n’a pas pris la mesure.
Éloge du politiquement correct. Pourquoi pas une loi sur le génocide arménien ? La Turquie doit attendre. Le Lawrence des frères Poivre d’Arvor. La haine de l’Occident est une vieille idée des fascistes.
Scotland Yard vient de déjouer un projet d’attentat fomenté par les djihadistes les plus proches du centre de la nébuleuse Al-Qaeda.
Que révèle cette guerre ? Pour quelles raisons était-elle, sans doute, inévitable ? Pourquoi est-il important qu’Israël n’en sorte pas vaincu ?
Est-il encore possible, face aux images du carnage de Cana, dans l’émotion, le chagrin, le deuil qui nous étreignent, de rappeler quelques faits ?
Un mot revient dans les commentaires, en Europe, de la riposte israélienne à la déclaration de guerre du Hezbollah : le mot « disproportion ».
Il y a dans l’affaire du Quai-Branly une ambiguïté qu’il est urgent de lever : l’Art n’est pas un genre dont les arts premiers seraient une espèce.
L’aventure coloniale a été une page sombre de notre histoire. La révision de cette évidence a un parfum de bond en arrière.
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