« C’est la rentrée où... » Le philosophe interroge les possibilités, certitudes et incertitudes, des mois qui suivront la rentrée 2003.
Dieudonné fils de Le Pen, bis. Pour Redeker. L’affaire Brenner. Éloge du valet de chambre. A bientôt, Barack Obama !
Ne dites pas à Woody Allen qu’il est cinéaste, il se croit musicien. BHL a assisté à une prestation de ce jazzman euphorique et manqué.
Mallarmé à Londres. Bergson, Proust et les boules Quies. La poubellication selon Lacan. La politique d’après Chateaubriand. L’accent de Heidegger. Pour une analytique de la bêtise. La chouette de Minerve. Derrida lecteur de Pythagore.
La gifle polonaise. La voix de Hollande. Mémoire de Cocteau. Ray Charles et la leçon de Chateaubriand. Les ofnis en littérature.
Le philosophe a reçu une lettre de son ami géorgien, emprisonné et empoisonné à Tbilissi. Et appelle l’Europe à ne pas oublier ses défenseurs.
Entre de rares oliviers se dresse le monastère de Mar Matta, nommé d’après l’ermite Mathieu qui vint s’y retirer à l’aube du christianisme.
Comme Hegel ou Chateaubriand pour le christianisme, le philosophe français a pour ambition d’éclairer « L’esprit du judaïsme ». Une religion du Livre qui ne cesse de remettre en cause le Livre.
Avec sa première pièce, jouée à partir du 23 novembre et mise en scène par Jean-Louis Martinelli, l’écrivain et philosophe passe en revue les maux de notre époque.
Que sont devenus les derniers défenseurs de Marioupol ? Et Julia Paevska, tombée aux mains des Russes ? L’esprit de Munich, lui, se porte bien…
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