Le philosophe Bernard-Henri Lévy évoque l’ampleur de sa dette envers cette femme politique de premier plan.
Bernard-Henri Lévy publie chez Grasset « Pièces d’identité » et « De la guerre en philosophie ». De ces deux travaux très différents se dégage le portrait d’un homme affairé, presque dispersé, mais apte à ramasser soudain sa pensée, autour d’une lutte majeure ou d’un concept neuf.
Pendant près de trois mois, le philosophe a parcouru le Vieux Continent pour une série de représentations théâtrales, vibrant plaidoyer pour l’Union européenne.
Si tous deux s’accordent à constater le chaos ambiant, ils tracent deux chemins radicalement différents pour construire la France d’après.
C'est un débat douloureux et sensible qui traverse l'Allemagne : faut-il du passé faire table rase, tourner la page de la Shoah, au risque de l'oublier ?
Le philosophe appelle à un « élan clémenciste » de tous les républicains pour sortir de la violence « barbare » qui enflamme les cités de France.
Auteur de « La Barbarie à visage humain », Bernard-Henri Lévy, normalien, agrégé de philosophie, passe à vingt-neuf ans pour le chef de file des courants dits des « nouveaux philosophes ». Il expose ici ses réflexions personnelles sur les rapports entre la morale et l’histoire.
Prix Nobel au Judaïsme. Les philosophes n’ont pas d’histoire. La masturbation de Ludwig Wittgenstein. Roland Dumas et le Front national. Retour à la Colombe d'Or. Pas de ratures pour Albert Cohen. Éloge du parisianisme. Relire Oscar Wilde.
Après l’attentat antisémite de la rue des Rosiers, BHL exprime, à la hâte, ses premières réactions à l’événement.
Jack Lang déclenche la guerre des bérets, des bourrées, des binious, contre l’invasion des « stéréotypes » venus des États-Unis.
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