Attention ! la pureté est « dangereuse », lance Bernard-Henri Lévy dans son dernier livre. Comme on lance un SOS.
Avec une pièce, « Hôtel Europe », et sa suite, « Réflexions sur un nouvel âge sombre », Bernard-Henri Lévy a conçu une véritable pavane pour une idée défunte : celle de l’Europe évidente, naturelle, immanente. Analyse et extraits.
Sur la scène du théâtre de l’Atelier, Jacques Weber, conférencier en mal d’inspiration, se jette avec rage et douleur dans l’oraison funèbre pour l’Europe de Bruxelles composée par Bernard-Henri Lévy.
Avec son nouveau livre, « L’Empire et les cinq rois », Bernard-Henri Lévy récidive dans la défense d’un Occident fier de ses valeurs.
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Pendant près de trois mois, le philosophe a parcouru le Vieux Continent pour une série de représentations théâtrales, vibrant plaidoyer pour l’Union européenne.
Dans « Ce virus qui rend fou », son dernier livre, le philosophe dresse un bilan de la crise sanitaire. Et dénonce cette « Première Peur mondiale » qui, au nom d’un hygiénisme exacerbé, a fait imperceptiblement glisser la société du contrat social au contrat vital.
Le philosophe médiatique publie son journal des événements en Libye, dont il a été témoin et acteur, de l’Élysée à Benghazi. D’où vient le besoin d’être aux premières loges de l’histoire, sur la ligne de front ? Marc Lambron tente de cerner Bernard-Henri Lévy, franc-tireur dont l’engagement impétueux fait cause commune avec l’ambition littéraire.
À l’occasion de la sortie de son livre « Sur la route des hommes sans nom », le philosophe se confie sur ses modèles littéraires. Il critique l’obsession sanitaire qui a braqué les yeux de nos démocraties sur le Covid au détriment des véritables guerres.
Le philosophe interprète « Last exit before brexit », une version remaniée de sa pièce « Hôtel Europe », au Cadogan Hall.
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