BHL signe le roman de la dissonance, du croisement serré des vérités contradictoires, du malentendu, de l’équivoque.
BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.
« Le Diable en tête » n’est pas un somptueux accident dans l’itinéraire et l’œuvre de BHL. Au contraire, c’est une nécessité, un complément.
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
À 36 ans, Bernard-Henri Lévy, chef de file des « nouveaux philosophes », publie son premier roman. Jacques Chessex a lu « Le Diable en tête » comme on regarde le film de notre époque.
Le philosophe salue la mémoire de Samir Landzo, héros de Sarejevo, et celle de Jacques Berès, « French doctor », cofondateur de Médecins sans frontières.
À la lecture du livre de BHL sur la mort de Daniel Pearl on reste bouche bée devant le travail impressionnant que déploie l’inspecteur Lévy.
En reprenant l’enquête de Daniel Pearl, journaliste assassiné au Pakistan, BHL nous précipite dans la machinerie terroriste.
Le philosophe pense la marche contre l’antisémitisme du 12 novembre comme un moment de fraternité républicaine.
BHL se souvient de Romain Gary. Le philosophe livre ici quelques anecdotes sur l’auteur de « La vie devant soi ».
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