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La sincérité de Bernard-Henri Lévy

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Magazine Littéraire, 01 novembre 1997

Diderot l’a déjà dit : le paradoxe du comédien tient dans ce qu’il est absolument sincère, même si la vérité échappe parfois à son rôle. Ce n’est pas par hasard que Bernard-Henri Lévy intitule son dernier livre : « Comédie ». Il y est totalement sincère.

Le blues du VRP

Henri-Michel Gautier, Le Spectacle du Monde, 01 novembre 1997

Depuis vingt ans, BHL ne connaissait que le succès. Son film « Le Jour et la Nuit » fut un bide. Il s’essaie désormais à l’autocritique et à la modestie.

Le Nous intégral

François Reynaert, Le Nouvel Observateur, 30 octobre 1997

« Comédie » de BHL représente une des expérimentations littéro-médiatiques les plus hallucinantes de la rentrée.

BHL décidément !

Jean-François Kervéan et Patrice Delbourg, L’Événement du jeudi, 30 octobre 1997

Comme toujours Bernard-Henri Lévy suscite engouement ou agacement. La rédaction de « L’Événement du Jeudi » n’a pas échappé au phénomène. État des lieux.

Comédie

Alain Dutasta, La Nouvelle République, 23 octobre 1997

BHL qui n'a jamais su faire de littérature avec ses propres sentiments, se met à nu, reconnaît ses erreurs, s'analyse avec sévérité.

Lettre à Bernard-Henri Lévy

Tahar Ben Jelloun, Le Point, 18 octobre 1997

Bernard-Henri Lévy a décidé de « tout mettre sur la table » : retiré à Tanger, il a écrit « Comédie ». Tahar Ben Jelloun a lu ce livre-confession.

À mon humble avis

Frédéric Beigbeder, Voici, 17 octobre 1997

Le pamphlet de Bernard-Henri Lévy contre BHL est une réussite totale, parce qu'il s'agit d'un essai révolté contre l'époque de la fausse vertu.

Bernard-Henri Lévy abat son jeu

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Figaro, 16 octobre 1997

Dans un essai autobiographique intitulé « Comédie », le philosophe veut tordre le cou à un certain BHL…

Lévy contre BHL

Guy Konopnicki, L’Événement du jeudi, 16 octobre 1997

Après son passage derrière la caméra, Bernard-Henri Lévy a choisi de faire, avec « Comédie », son retour à la littérature. Un livre sans concession où il enterre l’époque – dont il fut le prince – du règne des médias.