C’est un événement. Mardi 30 janvier, les neuf heures du chef-d’œuvre de Claude Lanzmann ont été diffusées in extenso sur France 2. Un bel exemple de pédagogie télévisuelle.
Le premier roman de BHL est une œuvre mature, à la fois légère et dense, et dont les personnages traversent des périodes de l’histoire.
De la fin de l’Histoire à l’ère du terrorisme, BHL rassemble dans son dernier livre, « Récidives », dix ans de chroniques engagées.
Ses livres sur Daniel Pearl et les guerres oubliées font un tabac aux États-Unis et son côté « parisien », qui agace ici, séduit là-bas. Nous l’avons suivi à New York pendant son marathon médiatique, au moment où il publie en France « Récidives », un recueil de textes très personnels.
BHL se veut « un intellectuel à l’ancienne », témoin engagé des convulsions du monde, questionnant avec simplicité le judaïsme et la littérature.
Avec « Le Diable en tête », BHL signe un beau livre, un premier roman brillant et foisonnant, un roman miroir de notre époque.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
Le philosophe salue la mémoire de Samir Landzo, héros de Sarejevo, et celle de Jacques Berès, « French doctor », cofondateur de Médecins sans frontières.
À la lecture du livre de BHL sur la mort de Daniel Pearl on reste bouche bée devant le travail impressionnant que déploie l’inspecteur Lévy.
L’écrivain-philosophe publie une enquête aux informations inédites sur la mort de Daniel Pearl, journaliste américain décapité au Pakistan.
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