Entretien croisé entre Françoise Giroud et BHL, à l’occasion de la publication de leur livre à quatre mains, « Les Hommes et les Femmes ».
Guerre en Libye, Erdogan, souverainisme, gauche racialiste, Covid... Le philosophe, qui publie « Sur la route des hommes sans nom », défend son internationalisme.
Dans « Ce virus qui rend fou », son dernier livre, le philosophe dresse un bilan de la crise sanitaire. Et dénonce cette « Première Peur mondiale » qui, au nom d’un hygiénisme exacerbé, a fait imperceptiblement glisser la société du contrat social au contrat vital.
Violences en Irak, en Syrie et en Libye, troubles en Ukraine, inaction de l’Europe, antisémitisme éclatant à Barbès... Bernard-Henri Lévy analyse les soubresauts d’un monde où se multiplient les conflits.
La France à Srebrenica. Christo et le Reichstag. Les communistes français sont-ils encore ce qu’ils étaient ? Pourquoi le 14 juillet n’est pas une fête « nationale ». Bernanos ou Lévinas. Jane Birkin à Sarajevo.
Que faire avec le FIS ? L’art selon Buñuel. Pourquoi les vrais philosophes sont toujours de bons écrivains. Le vrai problème des banlieues. Bonello et la « justice-spectacle ». Un dîner avec Salman Rushdie.
Libérer Israël des territoires ! Tout est vrai dans les romans, puisqu’on les a écrits. Michaël Jackson et la meute. Comment Sartre, qui n’avait rien compris à Genet, nous l’a pourtant fait découvrir. Pourquoi la gauche perd. Lambron en son église.
Il y a de la tendresse filiale, et une compréhension intime d’écrivain, dans le « Siècle de Sartre » de Lévy, frère en folie d’écrire de Sartre.
Un regard lointain pourrait associer leurs origines et leur mythologie : le marxisme d’avant 68, Cuba, la Bolivie et le Che pour Régis Debray ; le gauchisme de 68, le Bangladesh et l’Afghanistan pour Bernard-Henri Lévy... Mais en y regardant de plus près, tout oppose désormais ces deux intellectuels. Explications.
Mon ami Verdiglione. Le Pen et les chambres à gaz. Vienne, berceau du nazisme. Relire Hermann Broch, de toute urgence. Les salades de Tchernobyl. Les pompiers de l’Apocalypse. Un Sakharov mallarméen. Sartre ne comprend rien à la littérature. Dieu garde l'écrivain et ses héritiers.
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