Ce ne sont pas Les funérailles d’Hussein, c’est la comédie de la planète. Ce qui n’est pas acceptable, chez les partisans de la « parité ».
Boutin, Lewinsky, Deviers-Joncour – ou le « Casanova » de Sollers. Platon, Moïse, Benigni – et la représentation du mal absolu.
Sainte Edith Stein. Avec la presse algérienne. Infamie d’Augusto Pinochet. D’après Lautréamont, Ligne de risque.
Qui, d’un Massoud qui tient dix pour cent de l’Afghanistan ou d’un pouvoir taliban qui occupe le reste, aura raison de l’autre ?
Pourquoi il faut lire, à l’heure de l’affaire Clinton, le livre d’Alain Minc sur la révolution judiciaire et les juges.
C’est une nouvelle Inquisition qui, au-delà même de Clinton, commence de toucher, de proche en proche, un peu tout le monde.
La mémoire courte. Ils ont voulu tuer de Gaulle. Pauvre Blanc ! Pauvre Millon ! Humilier la droite. Perdre des voix en perdant son âme. La gauche tartuffe. Honneur au président Chirac.
Gare à l’antiaméricanisme. Saddam Hussein et les diplomates. La « place du Calife ». Ce sont les Irakiens qu’on abandonne. Chevènement récidive.
Marchais n’était-il qu’un comique troupier ? François Mitterrand et les livres. Lambron, l’oublié. Havel ou Huntington ? L’Algérie dans « Le Monde ». Bodard, le patron. L’hommage de Saddam Hussein au grand Satan. Athènes, Jérusalem et Louxor.
Que faire en Algérie ? Casser la spirale de la haine. Le devoir de l’État. Pour une commission d’enquête internationale. L’Algérie, comme l’Albanie. Viser les coffres-forts.
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