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Bernard-Henri Lévy : « Un plan Marshall pour l’Ukraine, pour relever le défi de la reconstruction »

Bernard-Henri Lévy (entretien), Le Nouvel Économiste, 10 mars 2015

Retour sur l'idée proposée par BHL, alors que l'Ukraine traverse une période d'urgence économique, de mettre en place un « Plan Marshall » pour lui venir en aide.

Pour saluer Jorge Semprún

Bernard-Henri Lévy, 28 juin 2014

Au Musée du Prado à Madrid, Bernard-Henri Lévy rend hommage à Jorge Semprún. L’occasion pour le philosophe de dire son admiration pour l’écrivain et l’homme d’action qui est « l’esprit européen incarné ».

Qu’est-ce, après tout, qu’une autobiographie ?

Bernard-Henri Lévy, 07 septembre 2010

Dans son discours prononcé à La Ferté-Vidame, à l’occasion de la réception du prix Saint-Simon pour son livre « Pièces d’identité », BHL revient sur son rapport au Moi, à l’écriture de soi, au sujet et à subjectivité.

Sartre et les juifs

Bernard-Henri Lévy, 30 septembre 2005

À la New York University, en septembre 2005, BHL intervient lors du colloque organisé par le Center for French civilization and culture. Il aborde « la question du rapport de Sartre aux juifs, à la question juive, au nom juif, au nom de juif ».

Un Sartre ou deux ?

Bernard-Henri Lévy, 25 juillet 2005

En 2005, lors du Colloque de Cerisy qui portait sur « Jean-Paul Sartre : écriture et engagement », Bernard-Henri Lévy développe sa thèse du premier et du second Sartre pour répondre à la question suivante : comment le même homme a-t-il pu écrire ceci et cela ?

Deux Sartre… ou trois ?

Bernard-Henri Lévy, 16 octobre 2004

Lors du colloque de Baltimore organisé par le philosophe Christian Delacampagne, sur le thème « Sartre et son siècle », Bernard-Henri Lévy, défendant la thèse d’un premier et de deuxième Sartre, pose la question suivante : « Deux Sartre... ou trois ? ».

Malraux, ou l’engagement

Bernard-Henri Lévy, 28 novembre 2001

Lors du Colloque « Malraux, ombres et lumières » organisé par la Fondation Singer-Polignac et Jean-Marie Rouart en novembre 2001 à Paris, Bernard-Henri Lévy, lecteur d’André Malraux – qui a eu sur l’auteur « La Guerre sans l'aimer » une grande influence – est revenu sur la notion de l’engagement malrucien.

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