BHL est entré en littérature avec fougue, signant une fresque fascinante, émouvante, dérangeante aussi.
En menant la première enquête sur la mort de Daniel Pearl, BHL affronte la question de l’islamisme et rend hommage au travail des journalistes.
Bernard-Henri Lévy a repris ses carnets de bourlingueur et de... redresseur de torts. Sa « romanquête » fait un tabac. L’assassin du journaliste Daniel Pearl sert de cadre à une mise en garde terrifiante contre les dangers que l’islamisme pakistanais ferait courir au monde.
Une formidable enquête de Bernard-Henri Lévy au cœur du fanatisme islamique le plus absolu. Ce qu’il révèle pose les vraies questions sur le visage de la haine.
BHL est entré dans la nuit du fanatisme. Il n’y a vu aucune lumière, sauf dans le regard d’un otage décapité devant une caméra.
L’écrivain-philosophe publie une enquête aux informations inédites sur la mort de Daniel Pearl, journaliste américain décapité au Pakistan.
C’est un livre incarné, un récit physique, écrit avec le corps autant qu’avec l’âme, un réquisitoire dangereux, qui accuse et demande des comptes à un État curieusement ménagé par les stratèges de la Maison-Blanche : le Pakistan.
BHL signe un livre dans un style absolument original, celui d’un Kessel qui aurait lu Lévinas, pour dire le gouffre de notre nouveau siècle.
Bernard-Henri Lévy a voulu tout savoir sur Daniel Pearl et Omar Sheikh, son assassin, dans un livre fiévreux, nourri d’inquiétude.
En reprenant l’enquête de Daniel Pearl, journaliste assassiné au Pakistan, BHL nous précipite dans la machinerie terroriste.
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