Il y a de multiples manières de lire ce foisonnant « Siècle de Sartre » de BHL, guidé par un enthousiasme, un emportement, un élan vers Sartre.
Il y a de la tendresse filiale, et une compréhension intime d’écrivain, dans le « Siècle de Sartre » de Lévy, frère en folie d’écrire de Sartre.
Conversation entre l’auteur d’une histoire subjective des intellectuels français du XXe siècle, et le biographe de De Gaulle et Malraux.
BHL revient sur la publication de « La Cérémonie des adieux », qui fut ce qu’il est convenu d’appeler un événement littéraire.
BHL évoque la langue à la fois simple, lumineuse, et, soudain, étrangement nouée, et donc énigmatique, de Levinas.
Il faudrait tout relire de Sartre, nous dit BHL : les textes canoniques, les œuvres philosophiques, et les textes réputés mineurs.
À la New York University, en septembre 2005, BHL intervient lors du colloque organisé par le Center for French civilization and culture. Il aborde « la question du rapport de Sartre aux juifs, à la question juive, au nom juif, au nom de juif ».
Le 30 octobre 2007, à l’Institut culturel italien de Paris, Bernard-Henri Lévy, donne une conférence sur Alberto Moravia. L’occasion de revenir sur le parcours de ce « grand vivant », auteur sous-évalué, et modèle du grand intellectuel européen.
En 2005, lors du Colloque de Cerisy qui portait sur « Jean-Paul Sartre : écriture et engagement », Bernard-Henri Lévy développe sa thèse du premier et du second Sartre pour répondre à la question suivante : comment le même homme a-t-il pu écrire ceci et cela ?
Lors du colloque de Baltimore organisé par le philosophe Christian Delacampagne, sur le thème « Sartre et son siècle », Bernard-Henri Lévy, défendant la thèse d’un premier et de deuxième Sartre, pose la question suivante : « Deux Sartre... ou trois ? ».
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