Redire les leçons rapportées de Ramallah et Colombo, à Sri Lanka, dont on oublie toujours qu’il fut le berceau des hommes-bombes.
Retour de Kaboul : José Saramago, José Bové, etc. – halte aux incendiaires des âmes.
Les auteurs de la vague d’attentats-suicides de samedi et dimanche en Israël ne sont pas des combattants, mais des tueurs.
Dommages collatéraux ? Bush-Ben Laden même combat ? Crétinisme américain ? Et si les Palestiniens avaient un Etat ? Al-Hayat contre Al-Jezira ? La guerre toujours.
Si « Sobibor » de Lanzmann est si important, s’il semble si essentiel de se précipiter dans les salles pour le voir, c’est pour, au moins, trois raisons.
À Colombo, au Sri Lanka : psychologie du kamikaze. Israël, une parenthèse ? L’Etat palestinien, la seule issue.
Mais qu’a-t-il donc de si particulier, ce fameux plan Beilin-Rabbo, signé à Genève ? Une nouvelle lueur d’espoir ?
On ne peut s’empêcher, si l’on est attaché à la cause d’Israël et à celle de la justice à l’endroit des Palestiniens, de reprendre timidement espoir.
Scotland Yard vient de déjouer un projet d’attentat fomenté par les djihadistes les plus proches du centre de la nébuleuse Al-Qaeda.
Un mot revient dans les commentaires, en Europe, de la riposte israélienne à la déclaration de guerre du Hezbollah : le mot « disproportion ».
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