Pourquoi Nicolas Sarkozy devrait lire, toutes affaires cessantes, ce grand livre de Kantorowicz, « Les Deux Corps du Roi » ?
Que la mémoire morte devienne une mémoire vive est bon. Mais pour que l’idée soit vraiment belle, il eût fallu la plier à quelques conditions.
L’Affaire de la Société générale entraîne une autre réflexion, un sentiment très étrange : l’Amérique est, tout à coup, à vendre...
Les électeurs américains, on le sent bien, ne sont sérieusement intéressés que par une chose, dix ans après, la fameuse affaire Lewinsky...
Le blairisme est la seule issue possible pour une gauche qui aura tiré toutes les leçons, toutes, de l’égarement totalitaire.
Après la visite de Nicolas Sarkozy au Vatican, cinq gestes politiques, s’il y avait encore une opposition, auraient dû provoquer un tollé.
Le narcissisme de Besancenot perce dans les sondages. « L’affaire » Guy Môquet. La gauche n’a rien appris sur l’Europe.
Le philosophe tente de prendre la mesure du très étrange événement que constitue le divorce du Président.
Ponia et Voynet en Birmanie ? Réponse à Jean Daniel. Sarkozy et son conseiller. Un bourreau nommé Guevara. Fadela et Jean Seberg.
Derrière l’idée du fichage ADN que l’on nous agitait sous le nez, s’annonçait une politique des quotas.
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