BHL revient sur la publication de « La Cérémonie des adieux », qui fut ce qu’il est convenu d’appeler un événement littéraire.
La France émerge à peine de l’étrange torpeur où l’ont plongée les élections du 10 mai. Les intellectuels eux-mêmes sont comme anesthésiés.
Une haine qui en aurait à la beauté du monde. Quand Sagan survit à sa légende. Un homme de marbre sur le divan d’Elkabbach. Allemagne : de l’OPA du siècle au syndic de faillite. La tête d’un black.
De la vogue du mutisme au cinéma à la stratégie du silence en politique : le grand retour du muet. Yougoslavie ou Yougoslamort ? Requiem pour une Europe morte à Sarajevo. Spielberg à Auschwitz et Auschwitz comme Lascaux.
Politique et géopolitique, littérature, cinéma, philosophie, télévision... BHL revient sur les grands moments de l’année écoulée.
Védrine semble regretter que « les intellectuels » soient « absents » du débat qu’il souhaite lancer. BHL répond, et lance le débat.
La joie de voir un peuple – les Serbes – briser ses chaînes et sortir de sa longue saison somnambule.
Qu’allait faire BHL avec Alain Finkielkraut et Benny Lévy à Jérusalem ? Fonder l'Institut d'études lévinassiennes.
Abolir la loi Gayssot ? Messier et Lescure contre le provincialisme français. Sollers et les bien-pensants. Le « De Gaulle » de Zagdanski. Pierre Brossolette, ce héros.
Faut-il brûler Nolte ? demandait l’ami Revel. Non, bien sûr. Il faut lire et relire, au contraire. Lire Nolte, et le combattre.
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