Ce n’est pas lui, Battisti, que défend BHL – mais la justice, l’Italie, l’Europe. C’est, pour le philosophe, une question de principe.
Une Lolita avant « Lolita » ? La biographie de Giraudoux a eu lieu. Leiris et Bataille ; Hertzog en plein duel ; Ray Bradbury, le gentleman.
La présomption d’innocence doit primer – et Battisti, par conséquent, bénéficier plus que jamais de l’hospitalité de la France.
La gifle polonaise. La voix de Hollande. Mémoire de Cocteau. Ray Charles et la leçon de Chateaubriand. Les ofnis en littérature.
Stendhal et l’Europe. Baudelaire et les enfants. Ni suisse ni juif, dit Giraudoux. Antiraciste façon Fanon. La reine et la pucelle. Les gays et le mariage. Hegel, le vieil homme. Europe chrétienne ?
Existe-t-il un précédent à cette farandole de l’ignoble que sont les photos des prisonniers d’Abou Ghraib ? Oui, car la barbarie n’a pas d’âge.
Le philosophe a lu « L’Amérique bâillonnée » de Lewis Lapham, et « L’écrivain le plus libre » de Cécile Guilbert. Critique.
La véritable urgence est d’expliquer à tous que l’antisémitisme n’est pas le problème des juifs mais de la France.
Pourquoi l’élargissement européen est une bénédiction pour les peuples de l’autre Europe, la nôtre, si étrangement lassée d’elle-même ?
Bob Woodward et les coulisses de l’entrée en guerre en Irak. Le mariage de Rushdie comme une victoire. Quand arrêtera-t-on Ben Laden ?
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